Non au démontage des panneaux solaires du CAUE
Article diffusé également sur AGORAVOX
A Pontoise au bord de la Viosne, il y a un très vieux moulin dans une zone protégée (ZPPAUP)
et ce moulin abrite les locaux du CAUE
A titre de démonstration et d'exemple, Le CAUE (conseil d'architecture, d'urbanisme et d'environnement) a fait installer il y a deux ans des panneaux solaires photovoltaiques sur ses bâtiments avec un permis pour les poser. En raison d'une erreur dans le dépôt du dossier, les bâtiments de France exigent aujourd'hui le démontage de ses panneaux (jugement du tribunal administratif). Monsieur Philippe HOUILLON, Député Maire UMP de Pontoise pourrait, s'il le voulait, prendre une décision pour que ces panneaux ne soient pas démontés.
Outre le gâchis financier, cette situation est un non-sens sur le plan environnemental et va à l'encontre des orientations du Grenelle de l'environnement et des déclarations du Président de la République et du Ministre JL BORLOO sur les énergies renouvelables :
Le bâtiment sans les panneaux Le bâtiment avec les panneaux
Le bâtiment avec les panneaux bâchés en attendant le démontage, démontage qui coûtera encore à tous les contribuables
En ce samedi 20 juin, les verts de Cergy-Pontoise avaient décidé de faire une action symbolique et de la médiatiser pour s'opposer au démontage de ces panneaux solaires
Ci dessous tenant la gerbe qui va être déposée dessous les panneaux solaires de gauche à droite : Marc Denis (Secrétaire des Verts Cergy Pontoise et Vice Président de la Communauté d'Agglomération de Cergy Pontoise de 2001 à 2008 délégué à la Valorisation des Déchets et à la Politique de l'Energie), Bénédicte ARIES, Conseillère municipale Verte de Pontoise et Michel VAMPOUILLE (Vice-Président du Conseil Régional Ile de France chargé de l'Environnement, du Développement Durable et de l'Eco-région).
La gerbe offerte et réalisée par des commerçants de Pontoise
Après le dépôt de gerbe, Marc Denis et Michel Vampouille se sont exprimés devant les journaliste de presse et de télévision
Ecoutons les :
Intervention de Marc DENIS
Intervention de Michel VAMPOUILLE
A Pontoise au bord de la Viosne, il y a un très vieux moulin dans une zone protégée (ZPPAUP)
et ce moulin abrite les locaux du CAUE
A titre de démonstration et d'exemple, Le CAUE (conseil d'architecture, d'urbanisme et d'environnement) a fait installer il y a deux ans des panneaux solaires photovoltaiques sur ses bâtiments avec un permis pour les poser. En raison d'une erreur dans le dépôt du dossier, les bâtiments de France exigent aujourd'hui le démontage de ses panneaux (jugement du tribunal administratif). Monsieur Philippe HOUILLON, Député Maire UMP de Pontoise pourrait, s'il le voulait, prendre une décision pour que ces panneaux ne soient pas démontés.
Outre le gâchis financier, cette situation est un non-sens sur le plan environnemental et va à l'encontre des orientations du Grenelle de l'environnement et des déclarations du Président de la République et du Ministre JL BORLOO sur les énergies renouvelables :
Le bâtiment sans les panneaux Le bâtiment avec les panneaux
Le bâtiment avec les panneaux bâchés en attendant le démontage, démontage qui coûtera encore à tous les contribuables
En ce samedi 20 juin, les verts de Cergy-Pontoise avaient décidé de faire une action symbolique et de la médiatiser pour s'opposer au démontage de ces panneaux solaires
Ci dessous tenant la gerbe qui va être déposée dessous les panneaux solaires de gauche à droite : Marc Denis (Secrétaire des Verts Cergy Pontoise et Vice Président de la Communauté d'Agglomération de Cergy Pontoise de 2001 à 2008 délégué à la Valorisation des Déchets et à la Politique de l'Energie), Bénédicte ARIES, Conseillère municipale Verte de Pontoise et Michel VAMPOUILLE (Vice-Président du Conseil Régional Ile de France chargé de l'Environnement, du Développement Durable et de l'Eco-région).
La gerbe offerte et réalisée par des commerçants de Pontoise
Après le dépôt de gerbe, Marc Denis et Michel Vampouille se sont exprimés devant les journaliste de presse et de télévision
Ecoutons les :
Intervention de Marc DENIS